Un modèle juste pour les propriétaires

Beaucoup d'acheteurs pour peu de biens
- La gratuité pour le vendeur, avec le confort d'un service complet
Dans la majorité des cas, il y a des dizaines d'acheteurs intéressés par la mise en vente d'un seul et même bien, ce qui traduit un gros déséquilibre entre l'offre et la demande. Dans ce contexte, le bien est donc considéré comme rare.
À notre humble avis, le vendeur d'un bien rare ne devrait pas avoir à payer pour le vendre, économiquement ça ne fait pas de sens !
Vite ne veut pas dire au meilleur prix
- Un processus de qualification et d'accompagnement des acheteurs
"Désolé, offre acceptée, c'est vendu" : une phrase que les acheteurs entendent souvent, alors même que l'annonce a été publiée quelques heures auparavant. Dans un tel cas, le vendeur a-t-il réellement obtenu le meilleur prix ?
Probablement pas, car les acheteurs ont besoin d'un minimum de temps pour se positionner sur un bien et faire leur meilleure offre.
Le "pas cher" est toujours trop cher
- Une commission acheteur de 2% de la valeur du bien, au succès
Dans notre belle Helvétie, notre culture de l'excellence implique que tout service de qualité coûte son prix, presque sans exception. Un service de courtage moins onéreux, par exemple, un forfait, est donc le fruit d'un élagage des services fournis au vendeur.
Proposer un service de qualité, livré par des professionnels, et tout compris, nécessite une rémunération suffisante et correcte.